Ce 14 février, vous avez certainement découvert le nouveau Plan Infrastructure Horizon 2024 du SPF Finances sur l’intranet.

Le jour de la Saint-Valentin, le SPF Finances a en quelque sorte annoncé à de nombreux agents que leur bureau allait bientôt fermer. Une manière assez particulière pour notre département de montrer combien il « aime » son personnel.

De nombreux agents ont appris la décision de fermeture de leur bâtiment via cette publication. En 2022, à une époque où on multiplie les réunions virtuelles pour parfois ne rien dire, le minimum n’aurait-il pas été de la part du département d’organiser des visioconférences pour expliquer la situation aux agents et pas leur balancer à la sauvette un PowerPoint indigeste pour les informer ? Poser la question, c’est déjà y répondre…

Ce plan infrastructure est l’inventaire de la présence future du SPF Finances par résidence ainsi que les résidences qui seront quittées par le SPF Finances à l’Horizon 2024.

À noter que le plan infrastructure Horizon 2024 ne concerne que les bâtiments administratifs. Par contre, les bâtiments de Finshop, Fedopress et les bâtiments spécifiques de la Douane ne sont pas concernés.

Voici les résidences quittées :

RÉGION DE BRUXELLES-CAPITALE

À Bruxelles, les résidences suivantes seront quittées :

  • Finto – Boulevard du Jardin Botanique 50
  • Rue de la Loi 24
  • Avenue des Arts 30

Conclusion : à Bruxelles, seul subsistera le North Galaxy (NoGa).

RÉGION WALLONNE

Voici les résidences qui seront quittées en Région wallonne :

BRABANT WALLON
  • Braine-l’Alleud (Rue P. Flamand 64)
  • Ottignies-Louvain-la-Neuve (Avenue Paul Delvaux 12 et 13)

Un nouveau projet est prévu à Ottignies-Louvain-la-Neuve.

HAINAUT
  • Ath (Place des Capucins 1)
  • La Louvière (Rue E. Boucqueau 15)
  • Mouscron (Place Lamartine 1)
  • Thuin (Tienne Trappe 1 / Rue Fosteau 15)

Ces suppressions s’ajoutent aux fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents, à savoir :

  • Mons (Rue des Arbalestriers 25)
  • Mons (Avenue Melina Mercouri)

De nouveaux projets sont prévus à Charleroi et à Mons.

LIÈGE
  • Malmedy (Rue J. Werson 2)

Cette suppression s’ajoute aux fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents, à savoir :

  • Eupen (Herbesthalerstraße 325 – Vervierser Straße 8)
  • Huy (Avenue Albert Ier 8/12 – Quai de Compiègne 55 – Chaussée de Liège 41 – Rue de Marche 18 – Avenue Godin Parnajon 2)

De nouveaux projets sont prévus à Eupen et à Huy.

LUXEMBOURG
  • Marche-en-Famenne (Allée du Monument 25)

Cette suppression s’ajoute aux fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents, à savoir :

  • Arlon (Place des Fusillés 10)
  • Bastogne (Rue des Récollets 6)
  • Bertrix (Rue de la Gare 130)

De nouveaux projets sont prévus à Arlon, à Libramont et à Marche-en-Famenne.

NAMUR

Voici les fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents :

  • Dinant (Rue G. Cousot 8)
  • Namur (Rue des Bourgeois 7)
  • Philippeville (Rue du Moulin 234)

De nouveaux projets sont prévus à Ciney, à Namur et à Philippeville.

RÉGION FLAMANDE

Voici les résidences qui seront quittées en Région flamande :

ANVERS
  • Brasschaat (Ruiterijschool 3)
  • Herentals (Belgielaan 31)
  • Lier (Kruisbogenhofstraat 24)
  • Turnhout (Guldensporenlei 66).

Ces suppressions s’ajoutent à la fermeture déjà prévue par les plans infrastructure précédents à savoir :

  • Turnhout (R. Sniedersstraat 6/ Gemeentestraat 1)

Un nouveau projet est « éventuellement » prévu à Geel.

LIMBOURG
  • Genk (Jaarbeurslaan 27)

Un nouveau projet est « éventuellement » prévu à Hasselt.

FLANDRE ORIENTALE
  • Dendermonde (Begijnhoflaan 49)
  • Gent (Sint-Lievenslaan 27-29)
  • Oudenaarde (St-Jozefsplein 2)

Un nouveau projet est « éventuellement » prévu à Gent.

BRABANT FLAMAND
  • Halle (Zuster Bernardastraat 32)
  • Vilvoorde (Groenstraat 51-57)

Ces suppressions s’ajoutent aux fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents, à savoir :

  • Dilbeek (Baron de Vironlaan 105)
  • Londerzeel (Stationsstraat 90)
  • Ternat (Winterweg 14)

Un nouveau projet est prévu à Asse.

FLANDRE OCCIDENTALE
  • Brugge (Gustave Vincke Dujardinstraat 4)

Cette suppression s’ajoute aux fermetures déjà prévues par les plans infrastructure précédents, à savoir :

  • Ieper (Arsenaalstraat 4A)
  • Veurne (P Benoitlaan 4)

Un nouveau projet est « éventuellement » prévu à Kortrijk.

Vous pouvez retrouver ce Plan Infrastructure Horizon 2024 ICI.

Le plan infrastructure Horizon 2024 a été établi en concertation avec les différentes Administrations.

Pour l’établir, l’autorité a pris en considération le fait que, même après la crise sanitaire actuelle, le télétravail restera largement utilisé. La régie des Bâtiments estime ainsi à 60 % le taux futur d’occupation des bureaux.

Pour le choix des résidences à quitter ou à maintenir, le SPF Finances a pris en considération les éléments suivants :

  1. les souhaits des administrations ;
  2. la maximalisation éventuelle de la capacité d’occupation d’un bâtiment à proximité ;
  3. la sous-occupation dans les bâtiments par résidence ;
  4. l’état des bâtiments par résidence ;
  5. la durée des baux de location par résidence.

Si on analyse le PowerPoint, on remarque que le critère le plus souvent utilisé (33 % des cases cochées) est la maximalisation de la capacité d’occupation d’un bâtiment à proximité. Donc on supprime des résidences pour remplir les bâtiments des grands centres !

Par contre, l’état des bâtiments (vétusté) est le critère le moins utilisé (5 %).

Les futures fermetures impactent des milliers d’agents : 6 647 exactement ! 2 560 agents à Bruxelles, 1 733 en Flandre et 2 354 en Wallonie.

Mais ce n’est pas tout : des milliers d’autres agents seront indirectement impactés, puisque le Dynamic Office sera mis en place dans leurs bâtiments.

Ainsi, outre au NoGa, le Dynamic Office Light sera mis en place dans huit autres bâtiments : Liège, Mons, Neufchâteau et Verviers en Wallonie ; Aalst, Antwerpen, Brugge et Mechelen en Flandre. 7 510 agents travaillent dans ces bâtiments. Vous découvrirez plus de détails à propos du Dynamic Office plus bas.

14 157 agents sont donc directement ou indirectement impactés par ces changements. Plus de deux tiers du personnel sont donc concernés !!!

Il y a quelques années, un manager nous avait précisé que pour lui, il ne devait rester que 2 ou 3 implantations par province.

Malheureusement, ce plan d’infrastructure ne fait que concrétiser cet objectif de rationalisation à outrance. Il y est d’ailleurs précisé : la répartition géographique a été prise en compte (2 – 3 bâtiments + bâtiment principal par province), afin de conserver une bonne accessibilité pour les contribuables et les employés.

Conserver une bonne accessibilité pour les contribuables et les employés ??? Permettez-nous d’en douter ! De nombreux citoyens ont encore besoin d’avoir un contact direct – de personne à personne – avec l’Administration. Certes, la pandémie a bien souvent empêché ces contacts. Mais ce n’est pas une raison pour les négliger dans le futur.

Au contraire, ce plan d’infrastructure « tue » le service public de proximité !

De même, ce plan d’infrastructure ne prend pas en considération :

  • la fracture numérique. Les citoyens qui se rendent dans nos bureaux sont souvent les plus fragilisés et pas toujours au fait des dernières technologies. Il n’est pas acceptable de négliger cette population dépourvue de moyens informatiques ou défavorisée socialement, ou tout simplement désireuse de garder un contact humain. Chaque citoyen est en droit d’obtenir un service public de qualité, et ce gratuitement ;
  • les spécificités de chaque province, de chaque région. Certaines régions sont par exemple très mal desservies par les transports en commun ;
  • les problèmes d’accessibilité et de parking dans les grands centres ;
  • le coût important du parking dans les grands centres, mais également dans les gares ;
  • l’empreinte carbone des déplacements. En cette période où tout un chacun cherche à faire des efforts pour réduire la facture climatique, obliger les administrés et les fonctionnaires à parcourir de longues distances est un non-sens. C’est en totale contradiction avec les engagements pris par notre pays en matière d’écologie ;
  • le fait que le télétravail nécessite quelques aménagements. Le plan part du principe que le télétravail restera la norme à l’avenir. Nous ne pouvons nier que nous sommes nombreux à vouloir continuer à télétravailler dans le futur, mais il ne faut pas négliger :
    – la nécessité d’une réelle revalorisation de l’indemnité télétravail pour prendre en compte les coûts exponentiels du télétravail (chauffage, électricité…) ;
    – la fourniture de matériel ergonomique aux télétravailleurs ;
    – la volonté, pour certains agents qui ne supportent plus l’isolement lié au télétravail, de revenir majoritairement au bureau ;
    – le souhait d’autres agents de voir s’élargir au-delà des 60 % la possibilité de faire du télétravail ;
  • la nécessité d’augmenter le réseau de bureaux satellite, permettant ainsi aux fonctionnaires de travailler près de chez eux sans être obligés de télétravailler ;
  • les problèmes informatiques récurrents du SPF Finances. Nous le vivons tous, et même les comptables s’en plaignent : les périodes d’inaccessibilité des applications, les lenteurs du réseau sont beaucoup trop nombreuses et régulières. Dans ces conditions, il est incompréhensible que nos managers prônent aveuglément le tout à l’informatique et aux services en ligne ;
  • les soucis du SPF Finances en matière de téléphonie. Il est nécessaire d’offrir un service téléphonique de qualité, avec un délai « raisonnable » de réponse, une facilité certaine pour le citoyen d’être mis en contact avec la bonne personne et de recevoir une réponse correcte… Au SPF Finances, nous savons malheureusement que ce n’est pas toujours le cas…
  • la pénurie de personnel au SPF Finances. Recruter et former de nouveaux agents est la seule manière d’assurer et d’assumer toutes les missions de service public et de lutter contre la fraude ;

Un point crucial n’est pas précisé dans ce plan d’infrastructure : la résidence vers laquelle sera transféré chaque service concerné. Quels choix seront éventuellement laissés aux agents ?

De même, les délais de fermeture pour chaque bâtiment ne sont pas donnés. Par contre, il y est écrit que la mise en place du présent plan d’infrastructure est prévue au plus tard en 2024.

Concernant les nouveaux projets, aucune précision n’est communiquée.

L’UNSP prône le maintien d’implantations dans tout le pays et notamment dans les zones rurales où les citoyens doivent pouvoir accéder aux services de base auxquels ils contribuent financièrement comme tout un chacun.

Dans les zones dépourvues de bâtiments du SPF Finances, nous demandons la création de maisons fédérales où seraient centralisés, à proximité des citoyens, tous les services administratifs de base dont ceux-ci peuvent avoir besoin régulièrement. Ces maisons fédérales réuniraient des services de différents SPF et même des administrations régionales, et permettraient un service de proximité dans l’ensemble du pays. Elles pourraient également abriter des bureaux satellites.

En matière de service public :
  • le maintien d’implantations dans tout le pays ;
  • la création de maisons fédérales dans les zones dépourvues de bâtiments (bâtiments où seraient centralisés tous les services administratifs de base [des différents SPF et même des administrations régionales] dont les citoyens peuvent avoir besoin régulièrement). Ces maisons fédérales devraient également être utilisées pour étendre le réseau de bureaux satellite ;
  • des investissements informatiques conséquents afin de garantir la fiabilité et la qualité des services numériques du SPF Finances ;
  • un service téléphonique efficace, avec un délai « raisonnable » de réponse, une facilité certaine pour le citoyen d’être mis en contact avec la bonne personne et de recevoir une réponse correcte ;
  • une réelle concertation avec le personnel en matière de Dynamic Office, un recours raisonnable et raisonné à ce Dynamic office et la réalisation des travaux nécessaires dans tous les bâtiments utilisant le Dynamic Office
  • le recrutement de personnel supplémentaire pour permettre au SPF Finances de remplir correctement et efficacement l’ensemble de ses missions (notamment de service public)
Pour les fonctionnaires :

Les économies réalisées doivent et peuvent servir à financer :

– en matière de télétravail :

  • une revalorisation de l’indemnité télétravail prenant en considération le coût réel du télétravail et une indexation de cette indemnité ;
  • la fourniture gratuite de matériel ergonomique aux télétravailleurs (dans le respect de la législation sur le Code du Bien-être) ;
  • un vrai débat sur l’augmentation de la limite maximale autorisée en matière de télétravail (actuellement 60 %) pour les agents qui le souhaitent ;

– le remboursement des frais de parking à proximité du lieu de travail et des gares ;

– la fixation à leur domicile de la résidence administrative des agents qui exercent une mission de contrôle et qui très souvent utilisent leur véhicule personnel pour exécuter leurs missions.

Nous ne pouvons évidemment accepter cette nouvelle centralisation à l’extrême, cette mise à mal du service au public.

Différentes actions sont envisagées.

Voici la première : signez la pétition destinée au ministre des Finances, à la ministre de la Fonction publique, au secrétaire d’État chargé de la Régie des bâtiments et au président du Comité de direction du SPF Finances.

Cette pétition peut être signée par le personnel du SPF Finances, mais également par les citoyens. N’hésitez pas à la partager autour de vous.

Voici le lien vers la pétition.

D’autres actions devraient bientôt vous être annoncées.

Lorsqu’un service déménage (soit suite à une décision en matière d’implantation des bâtiments, soit suite à un regroupement de services), le membre du personnel suit en principe son service.

C’est la fameuse mutation d’office, dénoncée à de multiples reprises par l’UNSP.

Rappelez-vous, il y a quelques années, nous avions organisé différentes actions pour nous y opposer. Suite à ces actions, les effets de cette mutation d’office avaient été quelque peu atténués dans certaines circonstances.

Il s’agit du protocole 100. Que prévoit ce protocole ?

  • Lorsqu’un service déménage (soit suite à une décision en matière d’implantation des bâtiments, soit suite à un regroupement des services), le membre du personnel suit en principe son service.
  • Dans l’éventualité où la nouvelle résidence aurait pour conséquence d’allonger le trajet simple domicile – lieu de travail de plus de 50 km OU d’augmenter d’1 heure par jour le temps de déplacement du trajet en transports en commun entre le domicile et le lieu de travail OU encore, un temps de déplacement quotidien du trajet en transports en commun dépassant 3 heures par jour, une solution plus adaptée, de préférence au sein de l’Administration générale ou du service d’encadrement concerné(e), sera préalablement prévue pour le membre du personnel concerné qui en fait la demande. Le passage vers une autre administration générale ou service d’encadrement peut seulement avoir lieu à condition que des emplois qui conviennent soient disponibles (pas de surquota) et que les deux fonctionnaires dirigeants soient d’accord.
  • En cas de déménagement suite à la diminution de la charge de travail (art. 50, 4° du Règlement organique), l’ancienneté sera utilisée comme critère de désignation pour le profil de compétence considéré, et ce, pour rester dans le même service et la même localisation et également lorsque d’autres services ou localisations seront proposés.

Conclusion : dans les cas non prévus aux 2e et 3e tirets (donc, dans la majorité des cas), en cas de fermeture/déménagement d’un service, l’agent suit son service… sans recevoir la moindre compensation (une indemnisation était initialement prévue. Malheureusement, elle a été supprimée suite à la réforme des indemnités, primes et allocations, réforme négociée au Comité B et dans laquelle les agents du SPF Finances ont été fortement lésés) !

Avant tout déménagement, un Comité de Concertation de Base (CCB) est organisé. Malheureusement, malgré nos avis négatifs répétés et bien souvent des décisions de déménagement infondées, force est de constater que jamais un CCB n’a abouti à l’annulation d’un déménagement. Le CCB se limite bien souvent à vérifier l’application correcte du protocole 100.

En outre, dans les déménagements antérieurs, un avenant au contrat a été proposé aux agents contractuels de Fedorest et de la Logistique pour les transférer dans une autre résidence.

Votre bureau attitré, individuel et personnel avec une photo de la famille et l’une ou l’autre décoration, c’est peut-être bientôt fini !

En effet, vous le savez, il y a quelques mois, l’autorité nous a annoncé qu’elle allait centraliser l’ensemble des services et bâtiments bruxellois au NoGa et y généraliser l’utilisation du Dynamic Office.

Au départ, quelques services devaient rester à la Finance Tower (Finto), notamment le Front Office, mais l’autorité a revu sa copie : à terme, l’ensemble des services bruxellois du SPF Finances seront déplacés au NoGa.

Le Dynamic Office, mais qu’est-ce que c’est ?

En quelques mots, le concept : lorsqu’il travaille au bureau, l’agent peut s’installer avec son ordinateur portable là où il le souhaite en fonction de son planning de la journée. Vous changerez de bureau et de voisins de bureau tous les jours et choisirez votre poste de travail en fonction des tâches à exécuter à ce moment-là.

C’est également un environnement de travail où les bureaux se trouvent dans un espace ouvert et où seront mis à disposition des espaces clos, des zones pour collaborer, d’autres pour téléphoner, des espaces de réunion, de détente ou encore des lieux pour s’isoler au calme.

Les postes de travail ne seront plus personnalisables, ils sont débarrassés de tout le superflu. Le principe du « clean desk » sera d’application (chaque jour, vous libérez totalement votre poste de travail avant de le quitter, de sorte qu’il soit disponible pour une autre personne le lendemain, et des casiers sont prévus pour ranger vos effets personnels et les dossiers en cours). Les armoires individuelles laisseront donc la place à des archives centralisées et à des lockers (les fameux casiers individuels).

D’autres bâtiments concernés !

L’autorité a annoncé que huit autres bâtiments seront à terme également concernés : quatre en Flandre et quatre en Wallonie. En voici la liste :

En Wallonie :

  • Liège – Rue de Fragnée 2
  • Verviers – Rue de Dison 134
  • Mons – Rue du Joncquois 116
  • Neufchâteau – Rue du Clos des Seigneurs 2

En Flandre :

  • Aalst – Andre Sirensstraat 16
  • Antwerpen – Italielei 4 – AMCA
  • Brugge – Koning Albert I-laan 1/5 “FAC Kamgebouw”
  • Mechelen – Zwaartzustervest 24

Dans ces bâtiments, on parlera de Dynamic Office Light. En fait, les agents y travailleront en Dynamic Office, mais aucun « gros » aménagement n’y est prévu. L’autorité y imposera donc le Dynamic Office, mais sans adapter les locaux, sans affecter un budget à ce changement de méthode de travail. C’est ce que nous qualifions de « Dynamic Office du pauvre »… Du bricolage ! C’est inacceptable !

En matière de Dynamic Office, nous demandons :

  • une réelle concertation avec le personnel à ce sujet ;
  • un recours raisonnable et raisonné au Dynamic Office ;
  • la réalisation des travaux nécessaires dans tous les bâtiments utilisant le Dynamic Office.

Pour rappel, il y a quelques mois, nous avions lancé une enquête à propos du télétravail et du Dynamic Office. Les résultats sont disponibles ICI

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